Juventus Rádió Sphére verte Sándor Balogh

Le président de l’UnionAfrique-Hongrie, (AHU) Mr. Sándor Balogh était l’invité du programme Sphère Verte de la Radio Juventus. Le sujet de conversationétait la situation des réfugiés arrivant de l’Afrique, la cause de l’abandon de leurfoyers et la gestion de cephénomène.

Le flux des réfugiés n’a pas commencé tout récemment, simplement il s’est renforcé pour à présent – a initié l’exposé de la situation Mr. Sándor Balogh. Déjà depuis des années ’80 beaucoup de gens a quitté les pays du continent espérant une meilleur vie dont une des causes que beaucoup d’informations (bien des fois falsifiés) parviennet à l’Afrique concernant le niveau de vie occidental et ce sont en contradiction éclatante à ce que l’on trouve au site. Cependant la transformation de la vie en Afrique a déjà commencé depuis très longtemps. La population vivant aux conditions naturelles s’est vu contrainte en plus en plus grande mesure d’aller aux villes qui sont devenues énormément grandes par contre elles n’ont pas pu donner du travail aux masses.

A part ça le niveau de vie est en train de se détériorer car il y a beaucoup de jeunes gens au continent et le marché de force ouvrière ainsi que l’économie ne sont pas capables de suivre l’accroissement de la population.

C’est la raison que dans l’espérence d’une meilleur vie plus en plus nombreux de gens se mettent en route. Le président de l’AHU a souligné que la solution réside dans la stabilisation économique de chaque pays. Une partie de l’aide arrivant de l’Occident n’est pas une aide en réalité, et en plus, une partie de celle ne parvient pas non plus où elle est destinée. Ni les indigents ne peuvent pas en jouir ni l’économie stagnante ne reçois rien de celle. La plus grande partie des aides restent dans la main de l’élite dirigeante qui ne les investissent pas dans leur propre pays, même, au contraire ils les font sortir du continent – en retour d’où elle est arrivée. Pour que ces pays disposent une économie acceptable il est nécessaire la démocratisation et la stabilisation de la situation politique. Pour ce processus il est nécessaire de recevoir des aides (sûrtout de la part des anciens colonisateurs) cependant seul ce n’est pas suffisant. C’est des pays africains eux-mêmes qu’ils doivent faire des plus grands efforts pour eux-mêmes.

Fotó: Europress AFP Images

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