Cette question fut l’un des sujets examinée au ministère des Affaires étrangères
hongroise où Iván Baba, Secrétaire d’Etat à la Fonction publique, et János Hóvári,
Secrétaire d’État adjoint avaient accueilli Marius Fransman Llewellyn, ministre sud-
africain adjoint des affaires étrangères.
Le gouvernement Sud Africain avait élaboré un programme à moyen terme, dont
l’objectif direct est l’amélioration des conditions de vie de la population par le biais
du développement social et économique. Dans ce travail, Pretoria définitivement
compte sur l’expérience de notre pays dans les domaines de l’éducation et de la
formation professionnelle sans oublier l’expérience acquise au cours de la transition
démocratique. Ils encouragent également les entreprises hongroises bien connues
et opérant dans les domaines de la haute technologie de paraître sur le marché
sud-africain.
Les négociateurs hongrois avaient confirmé que notre pays était prêt à partager son
expertise tout en soulignant l’avantage de nos entreprises opérant dans le secteur
agricole, de l’hydraulique et de la gestion de l’eau ainsi que des soins de santé
publique.
Après cela, le ministre sud-africain adjoint des affaires étrangères avait pris part à
la réception organisée au restaurant Gundel en commémoration de la Journée de la
Liberté (Freedom Day).
Outre les membres du corps diplomatique, des ONG engagées dans les questions
africaines et les membres des milieux d’affaires étaient également représentés.
L’ambassadrice Sud Africaine en Hongrie, Mme Takalani Netshitenzhe avait
accueilli les invités en les saluant en langue hongroise, puis avait demandé au
ministre adjoint de s’adresser aux hôtes. Marius Fransman Llewellyn avait parlé de
l’importance des relations diplomatiques entre les deux pays en mettent l’accent sur
les valeurs communes et le fait que la communauté hongroise vivant en Afrique du
Sud était une base solide pour continuer de développer davantage la coopération
entre les deux pays.
Il avait également mentionné que son pays fera tout son possible pour que l’Afrique
soit un continent pacifique en plein essor, démocratique et non raciste.
Dans son mot de bienvenue, János Hóvári avait parlé de l’intérêt croissant de
la Hongrie dans le développement de l’Afrique et avait souligné que notre pays
comptait sérieusement sur l’expansion de ses relations déjà existantes avec l’Afrique
du Sud en particulier et avec le continent en général.
Il avait conclue en félicitant le pays pour ses réalisations tout en lui souhaitant plein
succès dans l’avenir.
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